Tiens, bonjour, salut, dis-moi comment tu vas
Depuis le temps que l’on ne s’est pas vus
Tu sais, crois-moi, je ne t’attendais plus
Comme c’est drôle, tu vois, de se rencontrer là
Je dois t’avouer qu’il m’arrivait parfois
Tout seul le soir de repenser à toi Oui, Fafe, c’est moi, non je n’ai pas changé
Je suis toujours celui qui t’a aimé
Qui t’embrassait et te faisait pleurer
Tiens, tu vois, regarde, tu vas être étonnée
Mais j’ai gardé en souvenir de toi
Une photo que tu m’avais donnée
Oui, Fafe, c’est moi, non je n’ai pas changé
Je suis toujours celui qui t’a aimé
Qui te parlait sans jamais t’écouter !
Tiens, c’est vrai, le jour de ton anniversaire
Je m’en souviens comme si c’était hier
J’allais chez toi t’apporter du lilas
Dis, écoute ce disque, il n’est pas démodé
C’était, je crois, ta chanson préférée
Tu sais je l’ai bien souvent écoutée.Oui, Fafe, c’est moi, non je n’ai pas changé
Je suis toujours celui qui t’a aimé
Qui t’embrassait et te faisait pleurer
Oui, Fafe, c’est moi, non je n’ai pas changé
Je suis toujours celui qui t’a aimé
Qui te parlait sans jamais t’écouter
Oui, Fafe, c’est moi, non je n’ai pas changé
Je suis toujours celui qui t’a aimé…
Abr 29 2015
Oui!
Link permanente para este artigo: https://www.arlindovsky.net/2015/04/oui/


2 comentários
Este é que é o novo Califa?
Consta-me que andam a rezar-lhe pela pele!
🙂
É preciso ter fé nos beatos.